Dans le cycle de production d’une exploitation agricole bio telle que je la conçois, il y a aussi la commercialisation (voir le cycle de production complet)…
Et avec elle un souci constant de rester dans la « ligne » du bio : aller toujours vers une réduction de l’impact des produits.
Il faut des pots, des couvercles, des étiquettes, des emballages… pour assurer la qualité (dans sa globalité) des produits. Mais il faut aussi être constamment à l’affut des possibilités de les réduire, de les améliorer, et jongler avec les coût, avantages et inconvénients des éventuelles solutions…
Et avec elle un souci constant de rester dans la « ligne » du bio : aller toujours vers une réduction de l’impact des produits. Il faut des pots, des couvercles, des étiquettes, des emballages… pour assurer la qualité (dans sa globalité) des produits, mais il faut aussi être constamment à l’affut des possibilités de les réduire, de les améliorer, et jongler avec les coût, avantages et inconvénients des éventuelles solutions…
Je souhaitais depuis longtemps parvenir à mettre en place un contenant en verre, mais se posait le problème de l’identification : étiqueter, nettoyer, étiqueter, récupérer… ça représente beaucoup de temps et quelques difficultés !
Dans les échanges que nous avons entre producteurs, une « consœur » m’a un jour parlé d’étiquettes « lavables »…
Depuis 2019, j’ai adopté cette belle idée et creusé la faisabilité : avec l’imprimeur Azur étiquettes, nous avons trouvé la bonne matière et la bonne impression.
Résultat : de beaux pots, avec de belles étiquettes qui restent intactes malgré les lavages intensifs ! Une consigne incitative (50 cts), et des clients engagés font le reste : je récupère presque la totalité des pots vendus, qui repartent dans un circuit le plus « vertueux » possible.
Je n’ai pas encore trouvé LA bonne solution pour les pots individuels, qui restent en PVC (recyclable, quand même…), mais j’y travaille !